À l’ère du numérique où tout peut arriver à tout moment, les secrets des vestiaires ne sont plus des secrets, très peu sont des équipes sportives qui communiquent sur leurs activités. Certaines structures préfèrent minimiser l’impact d’une des préjugés et des ragots véhiculés autour de leur formation. Dans le cadre de cet article nous avons fait les tours, et les coulisses des stades et certaines indiscrétions nous laissent clairement entendre que dans le milieu sportif tchadien et surtout le football c’est sont les rumeurs qui sont des vraies informations. La plus part des équipes et même l’équipe nationale ne tiennent pas compte de la communication. L’exemple palpables est sur l’affaire du carburant pour le transport des joueurs sélectionnés pour le centre d’entraînement en début du mois de Mars. Ni la fédération tchadienne de football Association ni le staff des Sao ou encore le ministère n’ont communiqué sur l’affaire alors que des milliers d’internautes ont vue les Sao faire les échauffements dans un hôtel de la place à travers une vidéo à cela s’ajoute le budget du match des Sao à Yaoundé qui circule sur la toile. Ni la fédération ni le ministère n’ont donné aucune explication pour justifier ou démentir et pourtant c’est un sujet qui est sur la place publique.

La communication de crise est très importante pour rétablir ou apporter un démenti quand aux faits associant à raison ou à tord aux structures.

Cela peut aussi aider à orienter une situation sensible et éviter qu’elle se transforme en véritable crise. Communiquer pendant la crise : permet de faire le point sur la situation voire la tempérer. Communiquer après la crise : permet de clore le sujet en répondant aux dernières questions. Les équipes doivent se rapprocher des médias, des influenceurs, pour collaborer efficacement.

Mais malheureusement, au Tchad l’influence des médias est souvent reléguée au dernier rang quand il s’agit des failles dans une équipes.

Cela se justifie également par le fait que rare sont des clubs qui engagent un communicateur de formation pour gérer leurs images et ne font que dans le tâtonnements.

Si nous voulons avoir des équipes dynamiques, compétitives, et professionnelle il est important de copier les bons exemples des clubs professionnelle C’est-à-dire ne négligé aucun aspect.

LA VAR