Dans le grand cirque du sport, où les athlètes jonglent avec des ballons et les journalistes font des acrobaties pour obtenir des scoops, il est vraiment hilarant de voir à quel point la couverture médiatique est essentielle… sauf quand on parle des cérémonies de clôture ! Imaginez la scène : les journalistes, armés de leurs stylos et caméras, prêts à capturer l’éclat des vainqueurs, mais voilà que la ligue a décidé de jouer à cache-cache. Pas d’invitations pour eux ! Surprise !
Ces cérémonies de clôture, c’est un peu comme le dessert après un bon repas. Sauf que là, les journalistes se retrouvent avec une assiette vide et un petit mot disant : « Désolé, pas de gâteau pour vous. » Ils ne peuvent même pas échanger un sourire avec les champions ou recueillir ces histoires inspirantes qui feraient pleurer un roc. Au lieu de ça, ils se retrouvent à ronger leur frein sur le bord du chemin, comme des enfants laissés dehors pendant une fête d’anniversaire.
Et parlons de ce sentiment d’injustice. C’est comme si vous aviez passé des heures à préparer un plat savoureux pour finalement découvrir que vous avez été oublié à table. Les médias se sentent dévalorisés et un peu comme des figurants dans une pièce où ils devraient être les vedettes. Et qui peut blâmer le public de se demander comment la ligue traite ses partenaires ? On dirait qu’ils préfèrent jouer à « Qui ne sera pas invité ? » plutôt qu’à « Faisons équipe ! »
Il serait temps que la ligue reconsidère sa politique envers les médias. Parce qu’honnêtement, un peu de collaboration ne ferait pas de mal ! Après tout, si le sport et les médias sont censés être un duo dynamique, il est grand temps qu’ils arrêtent de danser sur scène chacun dans leur coin. Un avenir florissant pour le championnat ? Peut-être seulement si tout le monde est invité à la cérémonie !
Gaëlle ELSOU
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