Les enjeux de pouvoir et de gouvernance font rage dans le milieu du sport. Parmi les débats qui agitent la sphère sportive actuellement, ceux portant sur l’égalité et l’inclusion occupent une place prépondérante.
La poursuite des intérêts personnels conduit les dirigeants à privilégier certaines disciplines et certains sportifs au détriment des autres.
Les disparités salariales entre les athlètes masculins et féminins sont souvent pointées du doigt. Malgré leurs performances exceptionnelles, les femmes se voient encore trop souvent reléguées à des contrats moins lucratifs que ceux de leurs homologues masculins.
L’accès équitable aux infrastructures sportives pour tous, quelles que soient leur origine sociale ou ethnique, est loin d’être acquis partout dans le pays de Toumaï. Les entraînements et activités sportives se déroulent dans des lycées et sur les terrains des quartiers.
La position de force de certains responsables fragilise le système. Une éthique est donc nécessaire pour la bonne marche du sport.
Aujourd’hui, il est difficile d’obtenir des informations fiables dans ce milieu en termes d’accompagnement. Le cri de cœur reste la finalisation de certaines installations sportives afin d’accueillir des événements majeurs.
Le savoir-faire et l’amour du sport doivent être des critères clés pour la sélection des responsables afin de permettre une égalité des genres, la promotion des disciplines et la mise à disposition d’installations sportives modernes.
La Plume.
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