Le malheur des uns fait le bonheur des autres, dit-on. C’est dans ce malheur que les chèvres ont trouvé leur joie de vivre.
Si la pluie constitue un obstacle pour les joueurs, les animaux quant à eux, se regalent à travers la poussée des jeunes herbes. Ce qui leur permet de rajeunir leur peau et leur permettre d’avoir une bonne croissance après avoir mangé pendant longtemps du foin.
Ainsi, les nouvelles occupantes se voient maitre du terrain et se livrent à leur attente sans penser que d’autre part, cela constitue un véritable soucis. Reste encore à savoir s’ils peuvent réellement y penser. Toutefois, l’essentiel n’est pas de se demander ce que fera l’autre, mais profiter du présent que la nature offre sans contrepartie avec toute sa vertu. D’où les athlètes doivent resserrer leur ceinture et observer les nouvelles occupantes dans l’attente de les dégager après trois bon mois.
Kalynda
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