Commencé le 28 novembre dernier  cette activité a réuni plusieurs centres de karaté, taekwondo , tai tchin , Kong fu  venant de différents centres de formation de la capitale. Prenant la parole, le maître de karaté et coach de combat ceinture noire 3 ème Dan djim Claude Nounkingar dit que c’est une occasion de réunir les maîtres de katas et leur montrer les techniques. Pour lui le karaté n’est pas une violence mais un sport tout comme autre. Au cours de cette formation il est question de montrer comment placé le coup au niveau demander et , si un athlète envoies le coup ailleurs il aura de pénalité qui sont là. Dans un combat il ya de points a marqué et ces points sont : wasari, icon et ICO. Lorsque le combat est engagé et que l’un des athlètes marque un point les officiels sont appelés à arrêter le combat. Il est conseillé que l’on sorte sans blessures et que toutes les dispositions nécessaires sont là pour les prises en charge des athlètes. Maître djim Claude Nounkingar appelle les autres jeunes à aller s’inscrire dans les clubs de karaté.

Après cette brève intervention, c’est le président de la fédération tchadienne de karaté et discipline assimilée maître Tchang wei Tchang houloulou qui se dit ravie de ce programme qui a été mis en place par l’Union des fédérations africaine de karaté qui a pour but d’uniformiser les grades et pour ce faire , la mise au niveau de toutes les ceintures noires est exigé afin qu’un recadrage soit fait et la mise en œuvre de nouvelles dispositions pour permettre à la fédération internationale de karaté la transmission des techniques appelées : kiyon en japonais, des katas qui sont des combats et, ce combat lui même est appelé Komite. C’est pour cela que, la fédération tchadienne de karaté et discipline assimilée a décidé d’appliquer cette injonction qui vient de l’Union des fédérations africaines de karaté. Et pour aujourd’hui ,le Tchad est encore à sa première phase a t-il déclaré.

RESSEMADJI NGANDJIBAYE KEITA.