Faire du sport revient à accorder une attention particulière à son organisme d’une part et vouloir extérioriser sa capacité en confrontation d’autre part. C’est pourquoi un sportif se doit d’assurer sa santé mentale et physique afin que celle-ci ne constitue en aucun cas un obstacle pour parvenir à ses objectifs.

C’est dans cette optique que le gouvernement a jugé utile de mettre sur pied un garde fou pour mieux canaliser les déraillement, d’où l’article 51 qui stipule que : < Il sera créé un centre national médico-sportif chargé du suivi médical ainsi que du contrôle antidopage des sportifs et de la recherche. Des antennes locales de ce centre médico-sportif seront installées dans les chefs-lieux des régions et les établissements d’enseignement supérieur>

Mais, force est de constater que ces mesures ne sont que de l’ornement dans le bureau des concernés dans la capitale, pire encore dans les provinces où quelques rares des ligues et Fédérations tiennent les cordes au pas des caméléons. Si l’État à jugé bon de mettre ses textes sur écrit, c’est pour aider les athlètes à être soignés en cas de blessure ou toute forme de malaises qui peuvent advenir sur les terrains car, ne dit-on pas que prévenir vaut mieux que guérir ?

Kaly11