L’activité physique constitue un puissant levier de prévention des maladies pour les individus et une méthode rentable pour les nations visant à améliorer la santé publique au sein de toutes les populations.
Selon Open Edition Journals, les études sur les bienfaits sanitaires du sport considèrent souvent l’activité physique comme bénéfique, indépendamment de son objectif initial. Face à l’inactivité physique et à la sédentarité, qui sont liées aux maladies chroniques, l’activité physique s’est imposée tant dans le domaine du sport que de la santé, introduisant de nouvelles normes. Elle est définie comme une pratique sociale impliquant le corps dans diverses situations (supervisées ou autonomes), organisations (sportives, sociales, sanitaires, médico-sociales, familiales, etc.), et objectifs (utilitaires, hygiéniques, sanitaires, professionnels, récréatifs, sportifs, etc.). L’activité physique englobe les pratiques de santé, de développement personnel, de transport actif, de travail, ainsi que de loisir et de sport. Elle peut être analysée sous plusieurs dimensions : biomécaniques et physiologiques, cognitives et neurologiques, affectives et pulsionnelles, relationnelles et sociales, environnementales et écologiques, politiques et économiques.
Pour optimiser son capital santé, il est crucial de pratiquer régulièrement des activités physiques variées, ludiques, adaptées individuellement et, pour les personnes malades, supervisées au début par un professionnel du sport santé. Ces activités devraient privilégier des exercices fractionnés sollicitant l’endurance et le renforcement musculaire, en tenant compte du ressenti individuel quant à leur difficulté.
La Plume
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