Cette communication a permis au président Dokony de restituer le bilan d’une réunion qu’il a eu avec les présidents de différentes fédérations retenues pour ces activités a venir. Il a bien voulu faire la lumière sur les préparatifs des athlètes tchadiens qui doivent aller en compétition sous régionales et internationales. Il précise que son institution a mis sur pied un comité technique pour le suivi de ces fédérations et que tout le monde reste confiant pour la réussite de cette année contrairement au rêve de l’année dernière à Konya qui a été échec car le Tchad a voyagé une forte délégation composée de 80 personnes et le résultat s’est soldé avec zéro médaille.

Cette année le comité olympique sportif Tchadien a bien voulu que ce soit la qualité et non la quantité raison pour laquelle ils ont réduits le nombre pour prendre 4 meilleurs athlètes par fédération seulement pour les 4 fédérations sauf la fédération de volley-ball aura un nombre plus que les autres. Le Tchad voyagera avec une délégation d’une cinquantaine de personnes pour Accra et que cette stratégie permettra au Tchad de gagner quelques médailles a t-il souligné.

Adiker confirme que l’année 2024 est jonchée de plusieurs activités et que le COST se bat corps et âme pour que les fédérations qui doivent aller aux jeux olympiques Paris 2024 aient de meilleures conditions pour leur permettre une bonne réussite. Mais la première activité ou le Tchad doit y participer est celle d’Accra ( jeux africains) qui aura lieu du 08 au 24 mars prochain dont 5 fédérations sont sélectionnées à savoir : taekwondo, le karaté, la lutte, le judo et le volley ball. Le président rassure que ces athlètes seront casernes d’ici une semaine pour leur permettre de participer aux jeux africains dans les meilleures conditions. Après Accra une délégation quittera en juillet prochain aussi pour Paris 2024 pour les jeux olympiques.

Après toutes ces communications Fait place aux séries de questions par les hommes de médias et ces questions se tournent tout autour de moyens financiers en ce qui concerne la réussite de tous ces événements. Adiker répond simplement que son institution ne dépend pas entièrement de l’État mais quelques subventions doivent venir de l’État. Le COST a relancé l’État pour les différents aspects techniques pour les logements des autorités qui doivent aller. Il confirme qu’il est de la responsabilité de l’État d’allouer de fond pour les équipements sportifs pour permettre aux athlètes de défiler et un fonds également comme frais de mission aux athlètes a t’il conclu.

RESSEMADJI NGANDJIBAYE KEITA